bonjour qui pourrais m aider s il vous plaît voici mon travail à faire Je recopie la fable Le Corbeau et le Renard. En bleu, j'écris le passage narratif. En ver
Question
voici mon travail à faire
Je recopie la fable Le Corbeau et le Renard. En bleu, j'écris le passage narratif. En vert, j'écris le passage discursif. Je souligne la morale en rouge.
Merci beaucoup bonne soirée
2 Réponse
-
1. Réponse hirondelle52
Bonjour,
narratif
la morale
discursif
LE CORBEAU ET LE RENARD
Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
Et bonjour, Monsieur du Corbeau,
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois.
À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie,
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s'en saisit, et dit : Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
Le Corbeau honteux et confus
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
-
2. Réponse KiwolKill
Réponse:
Voilà
Explications:
J'ai pas les couleurs donc on va dire que italique=dialogue
Gras=passage narratif
Souligné=morale
Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Ranard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce language :
<< Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois. >>
À ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s'en saisit et dit : <<Mon bon Monsieur,
<<Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteur
<<Mon bon Monsieur, Apprenez que tout flatteurVit aux dépends de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. >>
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.
Jean de La Fontaine